Il était Une Fois Anderson

Tour à tour, « Petite Sirène » elle sauve son prince aux allures de « soldat de plomb »,
« Vilain petit canard » elle se métamorphose peu à peu en cygne majestueux.
« Petit Rossignol », elle virevolte autour de « l’empereur de Chine » qui croit la posséder.

Telle une danseuse dans sa boîte à musique, notre petite fille poursuit sa quête d’identité.



Guy Simon, une fois de plus, s’en donne à cœur joie pour signer une mise en scène aux ressorts kronopiens : pas une seconde de relâche pour l’actrice qui joue de l’accordéon, danse, et interprète, en jonglant avec les masques et les costumes, des dizaines de personnages. L’univers d’Andersen est servi avec un talent incroyable par une comédienne qui émerveille les petits et renvoie les grands à des souvenirs d’enfance. Quatre contes, quatre moments de bonheur à applaudir en famille. La Provence