Mais n'te promène donc pas toute nue !
- Du 13 Avr. 2021 au 14 Avr. 2021
- Transversales | Eglise Jeanne d'Arc (Verdun)
Notre travail a commencé par une sorte de déshabillage du pire et du « cliché » pour essayer de voir ce que c’est qu’un Feydeau ; dévoiler à quel point cet auteur écrit précisément l’incapacité qu’ont les hommes et les femmes à communiquer entre eux ; effeuiller cette mécanique puissante et géniale du quiproquo, mettre à nu ce rire fou et terrible qui nous prend quand nous nous reconnaissons dans les travers des personnages…
Chargement des représentations...
Description
À partir de 12 ans
lumière Hugo Dragone
son Vincent Fleury
costume Betty Rialland
scénographie Analyvia Lagarde
construction Charlotte Arnaud
soutien Simon Gras
production CIE LES INDIENS
coproduction Comédie de Picardie
soutiens Centre d’animation
du Haut Doubs
Festival des Nuits de Joux
Spedidam
PRÉSENTATION
Notre travail a commencé par une sorte de déshabillage du pire et du « cliché » pour essayer de voir ce que c’est qu’un Feydeau ; dévoiler à quel point cet auteur écrit précisément l’incapacité qu’ont les hommes et les femmes à communiquer entre eux ; effeuiller cette mécanique puissante et géniale du quiproquo, mettre à nu ce rire fou et terrible qui nous prend quand nous nous reconnaissons dans les travers des personnages… Il n’y a aucune bonne raison de monter un Feydeau en 2018, il n’y en a que des mauvaises… Peut-être parce que l’homme est toujours aussi mauvais qu’à son époque ? Aussi parce que, parmi tous ses portraits de femme, souvent pleines de colère et de ridicule, il semble qu’il en ait épargné une : Clarisse, dans Mais n’te promène donc pas toute nue ! Lorsqu’on y regarde bien, il y a chez elle une force, un désir d’émancipation, une volonté de justice qui amène un propos que nous pourrions qualifier aujourd’hui de « quasi » féministe. C’est par cette porte d’entrée que nous voulons questionner ces choses que nous reproduisons, dont nous héritons, tenter de comprendre par où nous sommes passés pour avoir cette drôle d’impression d’en être toujours aux mêmes points… » Charly Marty
presse : « La production de Charly Marty et de son équipe, tous réellement talentueux et investis dans cette création, riches d’enthousiasme et d’énergie, avec une mention particulière pour « l’électrique » Camille Roy, emmène les spectateurs dans des chemins de questionnements non résolus mais n’oublie pas de rester festive et impertinente ; avec un final explosif, carnavalesque et les épices d’une chanson grivoise… Mais, Ô combien, joyeuse, tonique et revigorante ! » Gil Chauveau / La revue du spectacle
son Vincent Fleury
costume Betty Rialland
scénographie Analyvia Lagarde
construction Charlotte Arnaud
soutien Simon Gras
production CIE LES INDIENS
coproduction Comédie de Picardie
soutiens Centre d’animation
du Haut Doubs
Festival des Nuits de Joux
Spedidam
PRÉSENTATION
Notre travail a commencé par une sorte de déshabillage du pire et du « cliché » pour essayer de voir ce que c’est qu’un Feydeau ; dévoiler à quel point cet auteur écrit précisément l’incapacité qu’ont les hommes et les femmes à communiquer entre eux ; effeuiller cette mécanique puissante et géniale du quiproquo, mettre à nu ce rire fou et terrible qui nous prend quand nous nous reconnaissons dans les travers des personnages… Il n’y a aucune bonne raison de monter un Feydeau en 2018, il n’y en a que des mauvaises… Peut-être parce que l’homme est toujours aussi mauvais qu’à son époque ? Aussi parce que, parmi tous ses portraits de femme, souvent pleines de colère et de ridicule, il semble qu’il en ait épargné une : Clarisse, dans Mais n’te promène donc pas toute nue ! Lorsqu’on y regarde bien, il y a chez elle une force, un désir d’émancipation, une volonté de justice qui amène un propos que nous pourrions qualifier aujourd’hui de « quasi » féministe. C’est par cette porte d’entrée que nous voulons questionner ces choses que nous reproduisons, dont nous héritons, tenter de comprendre par où nous sommes passés pour avoir cette drôle d’impression d’en être toujours aux mêmes points… » Charly Marty
presse : « La production de Charly Marty et de son équipe, tous réellement talentueux et investis dans cette création, riches d’enthousiasme et d’énergie, avec une mention particulière pour « l’électrique » Camille Roy, emmène les spectateurs dans des chemins de questionnements non résolus mais n’oublie pas de rester festive et impertinente ; avec un final explosif, carnavalesque et les épices d’une chanson grivoise… Mais, Ô combien, joyeuse, tonique et revigorante ! » Gil Chauveau / La revue du spectacle
Artiste(s)
- Mathieu Barché
- Yannik Landrein
- Camille Roy
- Charles Antoine Sanchez
- Simon Vincent
Lieu
Transversales | Eglise Jeanne d'Arc
6 Place Georges Guérin
55100 Verdun
Chargement des avis...
Chargement des articles