Ce que je reproche le plus résolument à l'architecture française c'est son manque de tendresse (Espace Culturel André Malraux)

Ce que je reproche le plus résolument à l'architecture française c'est son manque de tendresse

La tendresse est une cruauté qui se repose… Se pourrait-il alors qu’elle ait pris ses quartiers dans les grandes utopies architecturales d’après-guerre ? Sur scène, 70 ans d’histoire urbaine sont passés au peigne fin, pour mieux remettre en perspective nos représentations intimes et collectives.

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Description

À partir de 12 ans
90 minutes
Derrière le titre de ce spectacle, emprunté au propos de l’architecte Emile Aillaud, se cache le rêve d’inventer un modèle de citépoétique, originale et humaine. Entre le Serpentin des Courtillières et la Grande Borne de Grigny, trois explorateurs foulent les zones péri-urbaines dans un road movie haletant qui interroge ces barres d’immeubles aux façades défraîchies. Grâce à un dispositif scénique astucieux, ils dessinent les méandres d’un labyrinthe fait de discours politiques, de rêves d’architectes et du quotidien des habitants. Maquette et modules de différents volumes esquissent un territoire personnel et sensible où résident leurs plus folles chimères ; celles qui donnent les vraies tendresses.

Artiste(s)

  • Paule Schwoerer
  • Sylvain Fontimpe et David Farjon
  • Jérémie Gaston-Raoul
  • Anne Muller
  • Sarah Chaumette
  • Ydire Saïdi

Lieu

Espace Culturel André Malraux
2 Place Victor Hugo
94270 Le Kremlin Bicêtre
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