Car/men

En mêlant danse, théâtre, chant et vidéo, la pièce se joue du masculin et du féminin pour une ode à la liberté, liberté de mouvement sans étiquette. Minotaure ou gitane, animal ou théâtral, opéra ou ballet, contemporain ou flamenco, artisanal ou numérique ? Un peu de tout cela et bien plus. Ici tout est permis, la fantaisie n’exclut pas la virtuosité et les moments collectifs aux styles variés se partagent la scène avec des solos de poésie et de technicité. Sublimée par la fluidité des corps et par la voix lyrique du chanteur, les danseurs évoluent dans un tourbillon de couleurs.
 On est émus, on est surpris, on rit de cette rencontre improbable autour de cet éternel féminin ! Carmen dans tous ses états, nouvelle génération. Olé !