Minimum Syndicat + Broke + Lordakat + Sati’s + ViTech + Straight Disorder

Il en résulte un son hybride, une techno transgénérationnelle aux accents parfois cinématiques régulièrement jouée par les djs internationaux les plus en vue de la scène, d’Helena Hauff à I Hate Models en passant par Blawan, Perc ou Paula Temple. Reconnues à travers le monde, les prestations live de Minimum Syndicat mélangent nouvelles technologies et synthétiseurs analogiques, brassant de nombreuses références à l’histoire de la musique électronique des trois dernières décennies. Broke fait partie du Sound System Heretik sous le nom de DJ Zebra et du BrainHacker Sound System de Toulouse sous le pseudo Broke. Il a parcouru les free parties de toute l’Europe et joué aux côtés d’artistes tels que Jeff Miles, Manu Le Malin, Jeff23, Cristal Distorsion, 69db… et bien d’autres encore. Côté live, il promet de vous transporter dans un autre monde à base d’acid techno lorgnant vers l’acidcore ! Lordakat sort son 1er Ep « Candy Lovers » en 2016. Les sonorités sombres et hypnotiques qui s’en dégagent séduisent très vite le portugais Switchdance et le japonais Kezokichi qui remixent cette première production. Quelques mois plus tard, il sort un 2e Ep, intitulé « Cells », remixé par l’Italien Henrich Dressel et Markus Gibb lui-même. Actuellement porté sur le live, il distille ses compositions dans une techno envoûtante et acidulée. Sati’s est très vite attiré par le mix et la techno / deep-techno / house-techno. Les sonorités sombres et berlinoises de même que des artistes comme Len Faki, Ben Klock, Allan Fitzpatrick ou encore Adam Beyer viennent influencer ses sets. Il est par ailleurs, le fondateur de l’association Liberté Sonore Event. Issu du milieu de la rave party, ViTech est tout d’abord attiré par des influences tribe, tribecore, frenchcore et acidcore. Il évolue ensuite sur des sonorités house, tech-house et techno. Il affectionne maintenant des artistes comme Oliver Huntemann, Forma B, Carl Cox, Charlotte de Witte ou Nina Kraviz et a pour objectif de rassembler les foules à travers des sets envoûtants et mélodiques. Le projet Straight Disorder est né d’une volonté d’expérimenter de nouvelles formes d’expressions visuelles et audiovisuelles en confrontant la vidéo à d’autres médiums. Il proposera une performance visuelle en temps réel avec scénographie vidéo, mapping, projection immersive, installation vidéo, VJing…