Baco & Urban Plant

Son faire vivre l'héritage de sa musique traditionnelle, et de la contribution des musiques noires au patrimoine des musiques actuelles. Découvrant ä 10 ans la guitare électrique, qu'il ne quittera plus, puis débarquant ä Paris, de la forét tropicale ä la jungle de béton, sa musique en sera marquée ä jamais. Trés vite, les sonorités peu conventionnelles de ses compositions, inspirées par le rythme des tambours « NGoma » de son ile natale, sa voix chaude et chaleureuse et ses textes engagés le feront rernarqær et jouer sur de nombreuses scenes et festivals majeurs (New Morning, La Bellevilloise, Africolor„.) marquant les esprits et soudant quelques communautés de fans franqais. De ses premiers albums oü "artiste part ä la recherche de son style propre, aux expérimentations progressives, entre rock et reggae, blues et folklore traditionnel, Baco invente ce genre peu commun nommé « RWG » enivrant, fascinant, nous faisant voyager d'un continent ä un autre entre Afrique, Asie et Europe, nourri de ses multiples rencontres et collaborations avec des artistes comme : Keziah Jones, Hanifa Walidah (de Brooklyn Funk) ou encore Earl Blaize. Son album Karalala se vend ä pres de 200 000 exemplaires sorti chez Night & Day. II porte un message spirituel de "harmonisation possible des différentes cultures et des peuples. II sera de retour dans son ile, dans les années 90, pow æuvrer ä cette &nergence culturelle travers des concerts, des événements culture's, des expositions, II remplit les stades, mais est exposé politiquement. Face aux vives tensions que connait file, il se réfugiera en Métropole et dans le silence de Baco, mais æuvrant toujours dans la création.